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L'année dernière, cinq étudiantes en deuxième année de psychomotricité à l'institut de formation de Bordeaux ont monté un projet de Solidarité Internationale au Népal. Suite à leur intervention dans l'école Montessori "In House Academy" au village de Dhulikhel, le directeur de l'école a souhaité renouveler ce projet.

Nous sommes huit étudiantes en première année de psychomotricité souhaitant reconduire ce projet cet été. C'est un engagement personnel que nous prenons sur notre temps libre en dehors du temps scolaire.

 

Nous réaliserons des activités avec les enfants autour de l'éveil sensoriel et corporel. Les grands thèmes de la psychomotricité seront abrodés tels que le schéma corporel, l'espace, le temps accompagnés d'activités de développement, de sensation et d'expression. Nous avons choisi comme médiateur l'art étant donné que chacune de nous excerce une activité personnelle artistique. Par exemple, créer une échelle musicale (bouteilles remplies d'eau à différents niveaux), distinction de sons,... L'art est un moyen de commnication qui enrichirait nos échanges avec les enfants malgrès la barrière de la langue.

 

Les activités seront aussi expliquées aux professeurs avant les cours afin qu'elles puissent mieux comprendre les objectifs, d'améliorer leur regard critique, de s'approprier plus facilement les ateliers et de pouvoir les reproduire.

 

Ce projet a un but d'échange culturel. En effet, après quelques recherches, nous avons trouvé qu’il existait une école Montessori proche de Bordeaux à Latresne. C’est une école primaire où l'environnement préparé de chaque classe permet aux enfants de vivre les apprentissages à leur rythme et de répondre ainsi à leurs besoins fondamentaux. Dans cet objectif d'échange, nous passerons une journée dans cette école pour réaliser une vidéo retraçant le temps d'une journée quotidienne que nous visionnerons au Népal. La même production sera faite au Népal pour la montrer aux enfants français. Même si cette méthode est universelle, elle diffère selon les conditions de vie. Les enfants népalais ne disposant pas des mêmes instruments des français, nous pourrons en reproduire avec eux sur place.

NOTRE PROJET :

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